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Ascenseur pour la peur

Ascenseur pour la peur

La série culte !




Après le désolant épisode du collège, tout paraît s'arranger pour les orphelins Baudelaire : les voici de retour dans leur ville natale, où un couple chic et fortuné, Jérôme et Esmé d'Eschemizerre, vient de les adopter. Violette, Klaus et Prunille vont-ils trouver le bonheur au 667, boulevard Noir, à quelques rues seulement de leur ancien quartier ? Las ! les choses s'annoncent mal : pour gagner l'appartement où on les attend, au dernier étage (est-ce le 48e ou le 84e étage ? Le portier ne se souvient jamais !), il leur faut gravir un interminable escalier à vis, chichement éclairé par des bougies. Car, dans ce quartier huppé, on suit de près la mode et tout ce qui est in et out. Or, ces temps-ci, les ascenseurs sont out et les lumières aussi. En revanche, les orphelins sont in, mais est-ce une si bonne nouvelle ? Un appartement grandelet - soixante-et-onze chambres et autant de salles de séjour, salles à manger, salles à digérer, salles de bal, salles de bains et salles sans destination apparente ; un tuteur bien-gentil-mais ("Je ne discuterai pas" est sa devise) ; une tutrice femme d'affaires, in jusqu'au bout des ongles... N'en disons pas plus, si ce n'est qu'on trouvrera aussi : une cage dans une cage ; pas mal de vertiges ; triple dose de noirceur, ténèbres, obscurité (bien que la lumière redevienne in dès le deuxième chapitre) ; une brève -et dramatique- réapparition des enfants Beauxdraps ; un souterrain secret, guère éclairé non plus ; et une bonne louchée de trompe-l'œil, faux-semblants, artifices, comte Olaf, leurres et duperies, tous ces termes étant plus ou moins synonymes. Bref, une histoire de faux. Et un épisode vertigineux, brillant et sombre comme un diamant noir.

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